« J'ai mis toute ma vie à savoir dessiner comme un enfant. »
Voilà, c'est fait ! Après quelques efforts et, énoooooooooooooooormément de procrastination, je pense enfin avoir obtenu le résultat que je souhaitais. A peu près...
Bien sûr, je ne désirais pas la lune, tout du moins pas la vôtre, ce corps spatial pouvant m'attirer moult coups et blessures dès lors que je le reluque chez autrui ! Non, mon souhait tout humble n'était que de créer un ptit bonhomme tout rond, le cheveux en bataille, la lunette sur chaque oeil, parce que sinon c'est un monocle, et dont le simple faciès tapant dans l'épure ferait immédiatement passer à autrui - vous - son sentiment - donc le mien - sur une oeuvre, qu'elle soit filmesque, livraire (avec des dessins hein, faut pas déconner, trop de mots m'en donnent de tête), voire même musichienne, mais surtout, surtout, surtout (surtout ?) ludique, ce qui était finalement le but de ma manoeuvre.
Bien sûr, je ne désirais pas la lune, tout du moins pas la vôtre, ce corps spatial pouvant m'attirer moult coups et blessures dès lors que je le reluque chez autrui ! Non, mon souhait tout humble n'était que de créer un ptit bonhomme tout rond, le cheveux en bataille, la lunette sur chaque oeil, parce que sinon c'est un monocle, et dont le simple faciès tapant dans l'épure ferait immédiatement passer à autrui - vous - son sentiment - donc le mien - sur une oeuvre, qu'elle soit filmesque, livraire (avec des dessins hein, faut pas déconner, trop de mots m'en donnent de tête), voire même musichienne, mais surtout, surtout, surtout (surtout ?) ludique, ce qui était finalement le but de ma manoeuvre.
Voici donc "machin" ! Oui... Ok... J'ai fait de gros efforts ! Hugo aurait probablement trouvé un patronyme plus populaire, Tolkien se serait fendu d'un arbre généalogique sur soixante générations, et Dard griffonnerait sur son hypothétique et extravagante vie sexuelle, mais n'étant que dans mes rêves les plus fous... z'et éthyliques... que l'ombre de celles de ces bonhommes, je me contente en cette heure de ce rapide et maigre qualificatif pour ce tout petit bout coloré ! Nul doute que l'un d'entre vous, en ces pages, ou au détour d'une conversation, collera à l'étiquette de son slip kangourou cramoisi une dénomination plus à même de lui assurer de le retrouver lors d'une colonie de vacances agitée.
Mais je digresse, et je n'aime pas ça... ... (phrase courte du post... je vous laisse la relire plusieurs fois pour recouvrer un rythme de lecture et de souffle intellectuel plus humain)
Ce petit sujet va donc vous faire revivre l'accouchement de la bestiole, de l'idée de sa conception jusqu'à aujourd'hui : je trouvais le propos amusant, et surtout, reposant littérairement.... ce dont on pourrait douter après le babillage barbonesque que vous venez de vous cognasser amicalement.
Car, oui, c'est dingue, je vais stopper là mes phrases longilignes et mots oniriques. Machin est une gribouille, et la vie d'une gribouille ne peut se faire que par l'image, ou en suivant quelque alinéa : n'étant pas le trait noir d'une feuille blanche, mais plutôt le point noir d'une peau burinée (j'en ai longtemps eu un de très mal placé d'ailleurs), je vous abandonne donc à une frise scannée que je jalonnerai de quelques commentaires, comme ça, pour vous... et parce que je reste fourbe et vil, et ne peux empêcher mes doigts de tapoter sur ce clavier maudit.
Il fallait bien partir d'une pomme, et en ayant une sous la main,
la mienne ferait parfaitement l'affaire, surtout pour illustrer mes avis.
(notez la joie de vivre dans l'oeil gauche : ah ça sent le stupre à dix lieues à la ronde !)
la mienne ferait parfaitement l'affaire, surtout pour illustrer mes avis.
(notez la joie de vivre dans l'oeil gauche : ah ça sent le stupre à dix lieues à la ronde !)
Premiers croquis... pourris...
...et donc on arrondit, et on fleurit...
(Quand on a une tignasse, on essaie d'en profiter !)
(Quand on a une tignasse, on essaie d'en profiter !)
...parfois un peu trop d'ailleurs...
Un saian de passage et je me faisais probablement polir l'arrière-train à coups de quarante-cinq fillettes,
car on l'ignore souvent, mais Vegeta chausse grand !
Un saian de passage et je me faisais probablement polir l'arrière-train à coups de quarante-cinq fillettes,
car on l'ignore souvent, mais Vegeta chausse grand !
Et là, je me dis que je commence à tenir un truc...
Et pourtant, mon jean est toujours fermé !
Et pourtant, mon jean est toujours fermé !
Je tenais bien un truc !
Même si j'avoue avoir ressenti une certaine jalousie sous mon nombril ! :)
Même si j'avoue avoir ressenti une certaine jalousie sous mon nombril ! :)
Restait à bosser les mimiques, et à remercier M. Toriyama,
puis à basculer sous Photoshop. (mais si j'ai une licence... de pêche !)
puis à basculer sous Photoshop. (mais si j'ai une licence... de pêche !)
Attention ! Cette silhouette de smiley ne doit surtout pas être basculée à 90°
au risque de se retrouver avec un smiley phallesque sur son blog.
(si, si, j'vous jure, ça marche!)
au risque de se retrouver avec un smiley phallesque sur son blog.
(si, si, j'vous jure, ça marche!)
Quelques tentatives plus tard, vous aviez le sujet précédent...
... mais ça, c'était avant !
... mais ça, c'était avant !
Maintenant, plus qu'à rebrousser mes manches et retrousser mon chemin jusqu'à mon traitement de texte. Il semblerait qu'un machin, en attendant mieux, lorgne sur sa première pitance : ça bouffe des souris ces trucs-là ?