29.8.07

Eternal Sunshine Of A Spotless Mind


« La vitesse de l’émotion »

On pourra toujours nous parler de son, de lumière, d’espace temps, ou même de limite à n’pas dépasser paske l’machin sur l’autoroute va nous flashouiller, je sais bien depuis que je suis avec elle que rien ne file plus vite que le temps passé à… ses côtés ? Devant ou derrière, dessus ou dessous, tête à tête ou dos à dos, dedans ou dehors, tant d’espaces communs partagés pour tout autant d’émotions passionnelles stimulées… du meilleur jusqu’au pire, du commun à l’extraordinaire, nous nous sommes construits, chaque jour un peu plus.

Et si je me souviens de notre premier regard lorsque tu es descendue du train ce soir, que cette première marche dans les rues obscures d’Orléans est toujours gravée dans ma tête à la rue empruntée près, que le fil de cette nuit glisse si précilentement de l’écheveau de ma mémoire, je suis bien conscient que cela n’est du qu’à une vérité nue et sans artifice : il y a 5 minutes... et quelques secondes, je t’ai rencontré, et ma vie en a été bouleversée… moi qui ne voulais pas mourir vieux, je sais déjà qu’avec toi, mes heures à venir seront heureusement contées.


Kocham cię, Tikat’ à moi.

3 commentaires:

  1. Moi aussi, chi t'aime, gros nigaud... Et heureusement que les blogs existent, ainsi, on se rappelle qu'on s'aime (Cf. un certain post-it) ^_________^

    RépondreSupprimer
  2. Ayeux nawel, Lapin des bois ! ^_____^

    RépondreSupprimer
  3. "La vitesse de l'émotion" n'était donc qu'une entrée inappropriée de plus... à ce petit texte sans prétention qui pourtant retranscrit toujours ce que je suis aujourd'hui, il eut mieux valu donné un titre comme "La vitesse de la passion" ou encore "Love'speed". sic.

    Toutes les émotions ne nous entrainent pas sur les voies ressenties telle que je les décrivais alors. Il en est même qui bloquent l'horloge d'une vie, interrompent simplement le temps rendant l'existence intolérable. Sur témoignage, il en existerait même qui vous font regretter les moments passés, ces années perdues...

    Et versant dans la facilité, je m'en tiens à ma bannière : Moi qui ne voulais pas vivre jeune, je pressens déjà qu’aujourd'hui, mes heurts à venir seront malheureusement comptés.

    RépondreSupprimer